VOYAGE EN ARDECHE DU 24 AU 27 AVRIL 2017
Vous trouverez ci-dessous un aperçu non exhaustif du programme.
Le déplacement se fera soit en mini-bus , soit en bus suivant le nombre de participants.
Les modalités et prix sont expliquées à la fin de la présentation
Le déplacement se fera soit en mini-bus , soit en bus suivant le nombre de participants.
Les modalités et prix sont expliquées à la fin de la présentation
La grotte Chauvet :
Initialement nommée grotte ornée de la Combe d'Arc, du nom du lieu-dit, la grotte ornée du Pont d'Arc ou grotte Chauvet-Pont d'Arc, dite plus simplement grotte Chauvet, du nom de son inventeur, est une grotte ornée paléolithique découverte en 1994 située en France dans la commune de Vallon-Pont-d'Arc, dans le département de l'Ardèche
La grotte est découverte, de manière inopinée mais non fortuite, le 18 décembre 1994 par Jean-Marie Chauvet (contractuel du ministère de la Culture, chargé de la surveillance des grottes ornées de l'Ardèche depuis juillet 1994
Une décision a été prise à l'unanimité par la 38e session du Comité du patrimoine mondial qui s'est tenue à Doha (Qatar) le 22 juin 2014 : la grotte ornée du Pont-d’Arc, dite « grotte Chauvet », figure désormais sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco.
Antraigues-sur-Volane :
Commune située sur le cours de la Volane et près de la confluence d'un de ses affluents nommé La Bise, ruisseau lui-même grossi du Mas
En 1841, la commune de Laviolle est créée d'une fraction d'Antraïgues.
En 1851 la densité de population d'Antraïgues dépasse les 100 habitants/km2. À l'époque les hautes Cévennes sont plus peuplées que les plaines des basses Cévennes.
En 1944, un tribunal d'exception est installé à Antraigues pour châtier les traitres.
Dans les années 1960 - 1970, le maire Jean SAussac fit venir de nombreux artistes comme Jacques Brel, Lino Ventura, Pierre Brasseur, Claude Nougaro, Alexander Calder, Allain Leprest, Francesca Solleville, Isabelle Aubret et Jean Ferrat, qui se fixe définitivement dans le village et devient adjoint au maire chargé de la culture. Ce qui fit attribuer à Antraïgues le surnom de "le petit Saint-Tropez ardéchois"
Antraïgues a pris son nom actuel le 20 août 1989.
En 1841, la commune de Laviolle est créée d'une fraction d'Antraïgues.
En 1851 la densité de population d'Antraïgues dépasse les 100 habitants/km2. À l'époque les hautes Cévennes sont plus peuplées que les plaines des basses Cévennes.
En 1944, un tribunal d'exception est installé à Antraigues pour châtier les traitres.
Dans les années 1960 - 1970, le maire Jean SAussac fit venir de nombreux artistes comme Jacques Brel, Lino Ventura, Pierre Brasseur, Claude Nougaro, Alexander Calder, Allain Leprest, Francesca Solleville, Isabelle Aubret et Jean Ferrat, qui se fixe définitivement dans le village et devient adjoint au maire chargé de la culture. Ce qui fit attribuer à Antraïgues le surnom de "le petit Saint-Tropez ardéchois"
Antraïgues a pris son nom actuel le 20 août 1989.
Jean Ferrat (1930-2010), poète, parolier et chanteur français. Antraigues, où il s'était installé en 1964 lui a inspiré notamment sa chanson La Montagne. Il y a été adjoint au maire durant les années 1970. Il est inhumé au cimetière communal auprès de son frère André. Sa maison pouvant se visiter.
Labastide de Virac et son château :
Le village de Labastide-de-Virac est situé sur les plateaux calcaires, dans l’extrême-sud de l'Ardèche, sur l'antique route du Pont d'Arc. Place majoritairement protestante, la commune était un point stratégique entre Nîmes et Privas durant les tensions religieuses.
Haut-lieu des guerres de religions jusqu'à la révolte des camisards, le Château des Roure aurait été construit à la fin du XIVe, début XVe siècle. Il a appartenu à la famille de Pierre de Beauvoir de Grimoard du Roure jusqu'en 1825
Grotte de l'Aven d'Orgniac :
Site touristique majeur avec près de 5 km de galeries et 140 000 visiteurs annuels, l'aven d'Orgnac a obtenu le label Grand site de France au cours de l'année 2004
Cette histoire commence il y a 100 millions d’années, depuis la formation de la roche calcaire, jusqu’à la découverte de l’Aven d’Orgnac, en 1935, qui nous permet aujourd’hui d’admirer de gigantesques salles souterraines à + 120 m de profondeur.
Visite de la cité de la préhistoire qui fut inaugurée en 2014 et se situe non loin de la grotte :
Saisis par un face à face avec des hommes et des femmes préhistoriques qui vous observent avec amusement, vous plongerez dans leur environnement à travers des univers sonores, des animations 3D, la présence d'animaux naturalisés et de scènes de vie reconstituées.
Les préhistoriens et archéologues ayant travaillé sur ce musée ont souhaité une exposition moderne et intuitive
Alba La Romaine :
Située aux pieds du massif du Coiron, dans la plaine où s’épanouit la vigne, Alba la Romaine est fière de son riche passé historique. Alba était durant l’antiquité la capitale du peuple des Helviens (actuel bas Vivarais) : Alba helvorum. Ville sans rempart, la cité fut active du Ier s. av. J.-C. jusqu’au Vème s. ap. J.-C.. Pendant un temps, la ville reste absente des sources historiques. A partir du XIème s. est fondée Aps à l’emplacement du village actuel : Au pied du château XVIe s. , construit sur un dyke volcanique, le village actuel et le hameau de La Roche conservent de sa période médiéval un labyrinthe de rues bordées de maisons.
L’architecture, mêlant basalte et calcaire, donne un charme tout particulier à ce "village de caractère". Alba la Romaine se situe à 190 m d’altitude environ. Sa population est de 1436 habitants. Ces derniers se nomment : les Albains et les Albaines.
Aubenas :
Perchée sur son éperon rocheux, la ville d'Aubenas domine la vallée de l'Ardèche. Entre l'Auvergne et la Provence, le Lyonnais et le Languedoc, elle est un véritable carrefour touristique. Sa position géographique en fait la capitale de l'Ardèche du Sud. Au débouché de l'Ardèche, elle est située au croisement de deux principales routes du temps jadis : du Puy au Rhône par le col de la Chavade, et de Privas à Alès par le col de l'Escrinet. Cette situation privilégiée entre l'Ardèche méridionale et l'Ardèche verte en fait le carrefour obligatoire entre les différents types d'agriculture, d'économie et de modes de vie.
Tout au long de la visite du Centre Ancien, vous découvrirez la vie quotidienne des habitants de la cité, dont les fontaines.
Pendant longtemps Aubenas fut appelée : « La ville sans eau ». Juchée en haut d’une colline, elle ne pouvait être arrosée d’aucun cours d’eau. C’est au XIX° S que le Maire Jean Mathon fit exécuter des travaux, titanesques pour l’époque, amenant l’eau d’une source captée à Antraigues (14 kms). Le 23 juin 1863, une grande fête inaugure les 50 fontaines construites dans la ville (aujourd’hui seules quelques-unes existent encore) et qui toutes ensembles, se mettront à « cracher » l’eau à 7h du soir, dans la liesse populaire. Les fêtes dureront un mois entier !
Pendant longtemps Aubenas fut appelée : « La ville sans eau ». Juchée en haut d’une colline, elle ne pouvait être arrosée d’aucun cours d’eau. C’est au XIX° S que le Maire Jean Mathon fit exécuter des travaux, titanesques pour l’époque, amenant l’eau d’une source captée à Antraigues (14 kms). Le 23 juin 1863, une grande fête inaugure les 50 fontaines construites dans la ville (aujourd’hui seules quelques-unes existent encore) et qui toutes ensembles, se mettront à « cracher » l’eau à 7h du soir, dans la liesse populaire. Les fêtes dureront un mois entier !
Le Dôme Saint Benoît, joyau de l’architecture religieuse, classé Monument Historique, se caractérise par une structure à tambour hexagonal et une coupole du XVIII° de style Renaissance Italienne. Il abrite des collections d’objets d’art religieux et le mausolée du Maréchal et de la Maréchale d’Ornano. La Chapelle des Cordeliers est un ancien oratoire des Franciscains. On peut y voir une exposition de vêtements sacerdotaux, des tableaux et sculptures religieuses du XVII° S. évoquant l’activité des moines Cordeliers.
Date de fondation : dès le Ve siècle, la colline est l'objet d'une lutte tenace entre les évêques du Puy et ceux de Viviers pour la construction d'une place forte. Finalement l'évêque du Puy sort victorieux de ce long conflit et au XIe siècle (1084) inféode cette nouvelle possession au baron de Montlaur (ou Montlor), héritier des Ucel et originaire de la montagne ardéchoise (les Montlaur/Montlor dominaient le centre-ouest de l'actuel département de l'Ardèche, entre le lac d'Issarlès et la haute vallée de l'Ardèche : châteaux dits de(s) « Montlaur ou Montlor » à Coucouron, Mayres, Montpezat).
Cette famille règne de 1084 à 1441 et construit le donjon, le mur d'enceinte et les deux grosses tours rondes du château qui est alors entouré de fossés. C'est pourquoi l'on appelle Aubenas « la cité des Montlaur », seigneurs qui furent à l'origine non seulement de l'essor économique de la ville, mais aussi du développement social et matériel de ses habitants. Leur devise était : « Montlaur, au plus haut ! ».
Cette famille règne de 1084 à 1441 et construit le donjon, le mur d'enceinte et les deux grosses tours rondes du château qui est alors entouré de fossés. C'est pourquoi l'on appelle Aubenas « la cité des Montlaur », seigneurs qui furent à l'origine non seulement de l'essor économique de la ville, mais aussi du développement social et matériel de ses habitants. Leur devise était : « Montlaur, au plus haut ! ».