Ce nom vient de "Barrat" (fermé).
A cet endroit se trouvait un "sas" qui permettait de contrôler les entrées et sortie de la ville.
Tout cela n’existe plus, mais on peut encore voir deux portes accolées, l’une orientée pour entrer et l’autre pour sortir.
Il existe également un arrachement de mur de ville et, en remontant le "passage de la Barette", on peut remarquer l’arrachement de l’ancienne poterne.
Cette hypothèse ayant été retenue par les archéologues chargés d’établir le "P.O.S.H.A" de Saint Macaire.
A cet endroit se trouvait un "sas" qui permettait de contrôler les entrées et sortie de la ville.
Tout cela n’existe plus, mais on peut encore voir deux portes accolées, l’une orientée pour entrer et l’autre pour sortir.
Il existe également un arrachement de mur de ville et, en remontant le "passage de la Barette", on peut remarquer l’arrachement de l’ancienne poterne.
Cette hypothèse ayant été retenue par les archéologues chargés d’établir le "P.O.S.H.A" de Saint Macaire.
Dans un site bucolique, où subsistent des murs comportant deux jolies baies appartenant à des maisons médiévales, et donnant sur le palus.
Le site avait fait l'objet d'un nettoyage par l'association de mouvement de sauvegarde.
La restauration menée par la commune dans le cadre d'un chantier d'insertion, a concerné l’ensemble du lavoir, notamment les margelles en pierre de taille et le bassin en briques. Pour le curage du bassin, le même dispositif qu’au lavoir du Thuron a été retenu.
Le site avait fait l'objet d'un nettoyage par l'association de mouvement de sauvegarde.
La restauration menée par la commune dans le cadre d'un chantier d'insertion, a concerné l’ensemble du lavoir, notamment les margelles en pierre de taille et le bassin en briques. Pour le curage du bassin, le même dispositif qu’au lavoir du Thuron a été retenu.